Trois questions à Maélis

Maélis, consultant, 32 ans.

Pourquoi êtes-vous de l’Opus Dei ?

J’ai répondu à cet appel de Dieu dans l’Opus Dei, alors que j’étais étudiante, en premier lieu parce que j’avais compris que Dieu m’aimait infiniment et que je voulais essayer de répondre un peu à son amour. Ensuite, j’avais réalisé que Dieu qui m’avait créée, qui me connaissait parfaitement, était le plus à même de me montrer le chemin pour être heureuse et essayer de réussir ma vie. Enfin, je prenais conscience que je pouvais contribuer à l’œuvre de Dieu sur terre. Cette conviction a donné une autre perspective à ma vie. Dans mon cas, c’était au sein d’une institution de l’Eglise que j’aimais car elle proposait un chemin de progression ancré dans le quotidien.

Qu’est-ce que l’Opus Dei vous apporte ? 

Même si j’étais baptisée, je n’avais qu’une connaissance limitée de la doctrine de l’Eglise Catholique. J’ai commencé à fréquenter un centre de l’Opus Dei pour y recevoir une formation spirituelle que j’ai appréciée car elle était concrète et adaptée à ma situation d’étudiante puis de professionnelle. J’ai ainsi appris à parler avec Dieu dans les situations de tous les jours, à l’aimer, à le retrouver dans la messe et la prière. Cette relation est devenue quotidienne. Je souhaite qu’elle oriente mes actions car j’essaie de penser à ce que Dieu attend de moi et qu’elle m’aide à trouver la sérénité et la force. Aujourd’hui il faut être à 100% ! pour travailler, s’occuper de son entourage, de son mari, de ses amis...

D’après vous, qu’est-ce que l’Opus Dei apporte à l’Eglise et à la société ? 

La formation spirituelle que l’Opus Dei propose à tous les laïcs donne les clés pour comprendre le sens de la vie, connaître la vérité. Grâce à cela, chaque homme peut orienter sa vie, choisir les moyens qui lui permettront d’être heureux, même si ce n’est pas toujours facile ! Je crois que la formation d’hommes libres est l’enjeu principal et la garantie de progrès de chaque société.